Mariée et soumise

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il y a 7 ans

Lorsqu'elle avait épousé quelques mois auparavant Arnaud de la Tour-Beaumont, elle ne s'était pas doutée un seul instant qu'elle serait à ce point subjuguée par son beau-père.Celui-ci avait très vite compris cette attirance et avec la complaisance de son fils en avait tout de suite tiré profit. Monsieur de la Tour-Beaumont père sortait rarement de chez lui traitant ses affaires de son immense bureau. Il avait proposé à Isabelle de devenir sa secrétaire prétextant ne pas savoir se servir de son ordinateur. Arnaud avait bien sur encouragé sa jeune épouse à accepter. C'est comme cela qu'un lundi matin Isabelle s'était retrouvée toute émue devant cet homme qui l'impressionnait tant. Elle avait revétue une petite robe d'été s'évasant à la taille et s'arrêtant au dessus des genoux. ses seins fermes tendaient le tissu léger à petites fleurs roses. Elle n'avait pas mis de soutien gorge consciemment même si elle ne savait pas pourquoi elle cherchait à séduire le quinquagénaire qui plus est, était son beau-père. il avait à peine levé les yeux à son arrivée, mais avait eut le temps de remarquer ce détail.

_ Asseyez-vous, je vous ai fait installer ce bureau.

Isabelle remarqua alors la plaque de verre posée sur deux tréteaux, meuble moderne qui dénotait dans le magnifique bureau Louis-Phillipe. elle constata aussi qu'elle allait se trouver en face de son employeur. il se leva et sans se presser vint se placer derrière Isabelle.

_ J'ai décidé d'écrire mes mémoires et c'est à toi que je les dicterais.

Isabelle remarqua aussitôt le tutoiement qu'il avait employé, elle s'en sentie flatée. après de multiples explications, elle commença à taper sur sa dictée. Alexandre de son prénom allait et venait devant le table de verre jetant de temps en temps de légers coups d'oeil sur les jambes et la poitrine d'Isabelle. Il savait que s'il voulait arriver à ses fins, il lui faudrait attaquer durement. Il se lança:

_ Déshabilles toi!

_ Hein! que voulez-vous dire?

_ j'ai dit à poil, salope et vite!

_ Je...non...non...je!

_ A poil ou tu dégages, je n'ai pas de temps à perdre avec des salopes de ton espéce.

Complètement atterrée mais déjà conquise, Isabelle se leva et commença maladroitement à oter sa robe. Alexandre la regardait d'un oiel inquisiteur et un léger sourire aux lèvres. Isabelle se retrouva en culotte, une culotte trés sage d'ailleurs.

_ C'est cela que tu mets pour exciter mon fils? tu n'est pas trés douée, à partir d'aujourd'hui tu ne mettras plus de dessous et cela en toutes circonstances. d'accord?

_ Euh oui!

_ Oui qui? tu dois m'appeler Maître maintenant!

_ Oui maître.

Isabelle sentait qu'elle plongeait dans un monde qui lui était inconnu mais ce monde l'attirait comme un aimant. obéir, n'être plus elle même mais la chose, le jouet d'un homme elle avait fantasmé sur cela quand elle se caressait seule dans sa chambre. Alexandre continua à accentuer son emprise.

_ Ici, chez moi, tu devras être nue en permanence. Tu oteras tes vétements dans l'entrée et tu te présenteras à moi à genoux, le sexe ouvert à deux mains. toujours d'accord?

Cela allait très vite pour Isabelle l'entrainant dans un tourbillon qui la grisait et la chamboulait.

_ Oui maître.

_ Ah aussi! tu te raseras le ventre, intégralement, je ne baise les putes comme toi qu'imberbe, compris?

_ Oui, mais que vais-je dire à Arnaud?

_ Arnaud s'en fout et je t'ai dit de m'appeler maître.

il gifla les seins d'Isabelle sèchement.

_ Aie! oui Maître.

_ Saches aussi qu'ici tu te nommeras Cul de pute. Je trouve que cela te va comme un gant, tu ne trouves pas?

_ Euh! si Maître.

_ Cette après-midi nous irons faire quelques achats pour toi, ainsi que ce soir avec Arnaud. Mais pour l'instant tu vas me sucer et taches de t'appliquer.

Isabelle n'avait pas encore envisagé les conséquenses de sa soumission, même si elle y avait pensé elle était maintenant au pied du mur. elle débraguetta elle même son beau-père et aprés quelques caresses manuelles elle l'emboucha. Le sexe était gros et long, Isabelle n'était pas une oie blanche mais elle n' en n' avait jamais vue d'aussi gros. Elle continuait à le branlait de sa main mais il l'obligea à cesser:

_ Je veux être sucé pas branlé, salope et avales plus loin.

_ Je n'y arriverai jamais, vous, vous êtes trop gros!

_ T'as interret à y arriver si tu veux pas que je te tanne le cul à coup de ceinture.

_ Bien Maître!

Il l'attrapa par les oreilles et les cheveux et f o r ç a la bouche déjà docile, allant percuter le fond de la gorge occasionnant des hauts de coeur à la fréle jeune fille. il cracha enfin son sperme, éjaculant longuement en ralant.

_ Avales salope cela sera ton repas de midi. remet ta robe nous partons.

C'est encore toute retournée qu'Isabelle se retrouva assise prés de lui à l'arrière dans la confortable limousine. Isabelle remarqua aussi que le chauffeur régla son rétroviseur lorsqu'elle reçu l'ordre de se trousser et d'écarter les cuisses. ils firent les quelques kilomètres qui les séparaient de la ville sans autres incidences. le chauffeur les déposa au centre-ville et Alexandre entraîna Isabelle vers une petite boutique d 'articles pour animaux ou ils entrèrent. il y avait un couple qui se faisait servir par un vendeur mais Alexandre s'adressa directement au directeur assis derrière un bureau.

_ Bonjour Germain, J'ai besoin de tes compétences.

_ Ah bonjour Alexandre, bonjour mademoiselle!

_ Madame, c'est ma bru et c'est pour elle que nous sommes ici.

Isabelle vit aussitôt le coup d'oeil que l'homme lança vers le couple.

_ Si nous passions dans l'arrière boutique?

Alexandre acquiesça et le trio entra dans une petite salle qui sentait fort le cuir neuf. Isabelle n'eut pas le temps de s'approfondir sur le lieu car son Maître ordonna:

_ A poil Salope! et vite!

_ Mais... mais pas devant lui?

Elle reçu une gifle magistrale qui fit ballotter sa tête et c'est en s a n g lotant qu'elle s'exécuta devant le gros bonhomme hilare. Il la détailla sans vergogne.

_ J’aimerai d'abord un collier. Cuir rigide, plaque dorée large.

L'homme à moitié chauve s'affaira quelques instant au fond de son antre et revint avec ce qu'Alexandre désirait.

_ Voila, je vends cet article pour les gros chiens, il fera sûrement l'affaire pour une petite chienne.

Isabelle frémit sous l'insulte venant d'un inconnu mais elle n'osa pas se manifester, d'autant qu'Alexandre enchaina:

_ Fait graver: CUL de PUTE en dessous ESCLAVE et en dessous propriétaire etc...

_ Bien Alex, tu désires autre chose?

C'est la première fois qu'Isabelle entendait quelqu'un appelait son Maître par un diminutif mais cela prouvait aussi leur connivence.

_ Eh bien comme d'habitude, harnais, bracelets etc...

_ Un mors d'enculage?

_ C'est principalement pour cela que je suis ici je compte m'en servir dés ce soir.

_ Nous allons lui essayer cela tout de suite.

Isabelle se retrouva harnachée plusieurs fois de toutes sortes de choses en cuir noir ou rouge et le petit homme rond qui se faisait un plaisir de les lui ajuster mettait de coté ceux qui convenaient à Alexandre. Elle sursauta et tenta de se cacher quand le vendeur entra alors qu'elle était presque nue pour ramener le collier gravé. Alexandre prit un malin plaisir à le mettre autour du cou d'Isabelle devant celui-ci.

_ Cela te vas à ravir Salope!

Le petit homme renchérit:

_ J'ai hâte de la voir au club et surtout de l'essayer

_ Elle n'est pas encore prête pour le club mais si tu veux l'essayer ne te gênes pas, cette pute va se faire un plaisir de vous satisfaire, n'est-ce pas salope?

_ Euh! si c'est ce que vous désirez.

_ Je te l'ordonne et sois très très obéissante hein!

Puis s'adressant aux autres:

_ Je vous la laisse une heure ou deux, je vais chez Tarek mettre quelques trucs au point. d'ailleurs si tu veux venir ce soir chez Tarek ne te gêne pas Germain cette petite pute aura encore quelques essayages à faire. Je te confirmerai l'heure à mon retour. Amusez-vous bien en attendant, mais laisse son cul vierge, je me le réserve.

Alexandre était à peine parti que les deux hommes étaient déjà prés d'elle. Le plus jeune qui n'avait pas l'habitude n'oser rien faire mais son patron en crochetant durement un sein d'Isabelle ordonna:

_ A quatre pattes salope et avance!

La tirant par le sein maltraité il la f o r ç a à se mettre dans la position désiré. Il alla ensuite s'installer à coté de son vendeur et ordonna:

_ Allez, fait le tour de la pièce comme cela.

Ils éclatèrent de rire en même temps, faisant naitre une rage impuissante dans la tête d'Isabelle. Le petit homme continua:

_ Arrête toi le cul face à nous, écartes tes fesses à deux mains, ta moule aussi, je veux voir ce dans quoi je vais me vider les couilles. J'espère que tu mouilles parce ce n'est pas la peine de compter sur moi pour les préliminaires hein!

Il éclata encore de son grand rire entraînant l'autre qui commença à se faire plus entreprenant.

_ J'aimerais qu'elle me suce pour commencer.

_ Eh bien! Il suffit de demander. Viens sucer salope!

Bien qu'en rage, Isabelle s'exécuta suçant les deux hommes tour à tour. C’est le patron qui le premier fit le tour et pointa son sexe gros mais court à l'entrée du vagin. Elle continua à sucer l'autre tout en subissant les coups de reins rageurs du petit gros. Ils échangèrent plusieurs fois leurs places avant de jouir en elle. Isabelle qui se crut soulagée fut estomaquée quand le petit homme renchérit:

_ Nettoie nos bites salope nous n'en avons pas encore fini avec toi.

Elle lécha leurs sexes longuement sur toute la longueur sentant ses propres odeurs intimes. Elle dut ensuite rester à genoux pendant qu'ils se rajustaient. Le vendeur retourna au magasin mais le patron continua à vouloir s'amuser avec Isabelle. Il lui fit prendre de multiples poses toutes contraignantes ou dégradantes continuant à l'insulter de toutes sortes de noms d'oiseaux. Il savait qu'une des pires choses que pouvait subir une soumise était de se caresser devant un inconnu aussi ordonnât-il:

_ Sur le dos, putain et titille toi le bouton, je veux t'entendre jouir comme une chienne sinon je te cravache la moule.

Isabelle était en train de s (exécuter depuis quelques minutes quand Alexandre refit son apparition. elle se crut soulagée.

_ Je ne sais pas ou Arnaud a trouvé cette putain mais elle promet et avec le clito qu'elle a, j'espère que tu la feras anneler.

_ J'y compte bien, bien sur et le plus rapidement possible.

Alexandre souriait en regardant Isabelle dans sa position dégradante. Elle crut qu'ils allaient partir, qu'il allait faire cesser son martyre mais au contraire il renchérit:

_ Enfonce les doigts de ton autre main dans ton trou à bite, nous n'entendons pas ta mouille tu dois être en permanence prête à accueillir de la queue. Tu n'as pas encore compris? Tu es à nous maintenant, à nous, à Arnaud bien sur mais surtout à moi et à tous ceux à qui je voudrais bien te prêter.

Curieusement, Isabelle jouit réellement en entendant ces paroles. Elle venait d'entendre ce dont elle rêvait au fond d'elle même. Ce qu'elle avait enfui sous la pression de son éducation catholique. Elle allait devenir une esclave. A vingt trois ans, esclave d'un homme qui en avait plus du double mais qu'elle vénérait déjà comme un Maître qu'elle espérait dur, cruel et intransigeant.

Ils prirent enfin congé du petit homme non sans qu'Alexandre lui donne rendez-vous pour le soir même dans un lieu qu'Isabelle ignorait encore. Dans la voiture qui les ramenait, Alexandre redevint presque tendre, même si elle avait du se trousser et écarter les jambes toujours sous le regard vicieux du chauffeur.

À l'entrée de l'immense demeure, elle ôta sa robe et c'est nue qu'elle prépara du café pour le servir à Alexandre. Celui-ci était en grande conversation au téléphone quand elle refit son apparition au salon. Isabelle compris qu'il parlait d'elle avec Arnaud quand il déclara:

_ Je la garde pour cette nuit, il faut qu'elle s'habitue et puis si on veut la présenter au club pour septembre il faut la dresser rapidement.

Les mots chantaient à l'oreille d'Isabelle ou plutôt bourdonnaient, Habitude dressage, présentation etc... Elle ne savait pas ou cela aller la mener mais elle n'avait qu'une hâte... Y être.

Isabelle avait passée le reste de l'après midi à servir son désormais maître. Il n'avait plus à aucun moment manifesté le désir de la prendre ou de l'obligeait à faire autre chose que de rester nue devant lui. Le seul ordre ou plutôt la seule contrainte avait été l'interdiction de prendre un siége. Elle devait rester à genoux à ses pieds, prête à satisfaire ses moindres désirs. Les choses s'accélérèrent au moment du repas du soir. Non seulement Isabelle dut aider la cuisinière par ailleurs épouse du chauffeur, mais elle le fit nue et devant le couple égriards.

On l'affubla d'un petit tablier blanc qui ne cachait ni son sexe ni ses fesses et d'une coiffe de dentelles. Elle servit Alexandre ainsi vêtu. Elle en avait honte mais savait qu'il en serait dorénavant ainsi, ne l'avait elle pas voulu. Isabelle devait entre chaque plat s'agenouiller prés de son Maître et attendre ses ordres. Elle se pliait à cette volonté avec une certaine volupté jusqu'à la fin du repas d'Alexandre.

_ Pour moi j'ai fini, mais toi tu vas ramener ta gamelle. Pour ta première fois tu mangeras devant moi mais demain cela sera dans la cuisine, une esclave mange à l'office n'est-ce pas?

_ Oui Maître.

Isabelle revint de la cuisine avec une gamelle de plastique rouge. Une gamelle pour chien. Elle était suivit de Rachida, la cuisinière, qui s'adressa à Alexandre:

_ J'ai exécuté vos ordres monsieur, mais je trouve que vous êtes trop bon avec elle.

_ Je sais, je sais, ma bonté me perdra mais c'est la première fois tu comprends nous varierons les menus plus tard comme pour les autres.

Les autres, Isabelle n'avait pas envisagé qu'il y en ai eut d'autres qu'elle ou même peut être qu'il y en ai encore. cela la déstabilisa encore plus. Rachida saisit la gamelle et la présenta devant le visage d'Isabelle:

_ Lit Salope!

Isabelle vit alors l'inscription au marqueur sur le plastique rouge.

_ Lit à haute voix, putain, t'es idiote ou quoi?

Isabelle n'avait pas envisagé qu'elle devrait aussi obéir au personnel d'Alexandre et surtout qu'ils la traiteraient comme une soumise. Elle annonça:

_ Cul de pute!

_ Mieux que cela, plus fort!

_ CUL DE PUTE.

_ Voila c'est mieux, à genoux et mains dans le dos.

Isabelle comprit qu'il lui fallait obéir, Rachida était encore plus dure qu'Alexandre, sûrement une affaire de rivalité féminine. Elle ne se doutait pas qu'avant d'être au service d'Alexandre Rachida avait travaillé dans un bordel ou elle dressait les prostituées récalcitrantes. C'est pour cette raison qu'Alexandre avait engagé le couple au moment de la fondation du club très fermé dont il était président. Isabelle apprendrait aussi plus tard à connaitre le courroux du mari de celle-ci.

Isabelle plongea son visage dans l'espèce de ragoût prés-coupé et commença à manger devant eux. Rachida se plaça derrière elle et ordonna:

_ écarte les cuisses salope!

Isabelle sentit aussitôt la chaussure de la cuisinière sur son sexe. Le geste était brutal. Rachida frottait durement les nymphes du dessus de sa mule. Les coutures grossières du cuir râpaient l'endroit fragile. Entre deux bouchées, Isabelle serrait les dents, elle avait vraiment mal et elle savait que cela ne serait pas la dernière fois. Son calvaire dura tout le long de son repas et elle ne fut pas surprise d'entendre Alexandre dire lorsqu'elle eut fini:

_ Prépare la nous sortons ce soir. Grand jeu hein! C’est une salope doublée d'une pute tu as vu non?

_ Pour la tenue?

_ Rien, juste les tatouages au henné. Je t'ai fait la liste de ce que je veux que tu lui marques et ou, voila!

_ Bien monsieur.

Rachida entraîna Isabelle dans la salle de bain. Après lui avoir ôté son tablier elle mouilla à l'aide la douchette la toison pubienne de celle-ci, puis la barbouilla de crème à raser. Isabelle avait compris qu'elle allait faire le sacrifice de sa toison mais elle redoutait le rasoir du type coupe-choux et surtout la cruauté de Rachida. Celle-ci avec une dextérité certaine eut en un clin d'oeil, raison de toute pilosité. La jeune fille pensa avoir amadouée la mère maquerelle mais celle-ci renchérit:

_ Bientôt je te raserai la tête ma poulette, Alouette.

Isabelle compris qu'elle ne plaisantait pas.

La jeune fille dut ensuite s'allonger sur une table et Rachida s'installa entre les jambes pendantes et ouvertes d'Isabelle. Elle passa une crème apaisante sur le pubis rougi et commença à préparer son henné. La séance dura plus de deux heures, Rachida prenait son temps centrant les inscriptions, disposant Isabelle dans les positions lui permettant d'écrire sur les fesses le ventre ou les seins d'une Isabelle complètement docile.

_ Et maintenant, la touche finale ma beauté, avec ça tu vas déguster ma belle. Tu vas voir ta moniche va ressembler à celle d'une vieille pute; bien rouge et grande ouverte.

Elle sortit alors de sa poche une boite qui ressemblait à une vieille boite de cirage avec un papillon pour l'ouverture. Isabelle assise pour la circonstance pu voir la crème rouge vive qu'elle contenait.

_ Quand je t'aurais enduite tu vas sentir une brûlure intense, une brûlure qui va se transformer peu à peu en une volonté de te faire prendre. Petit à petit tu ne penseras plus qu'à cela, te faire baiser, mais même lorsque cela aura été le cas tu ne seras pas apaisée tu en voudras encore et toujours et ce pendant de longues heures.

Ce disant elle avait pris une noisette de crème sur son index et joignait le geste à la parole. Isabelle voyait les petites lèvres de son sexe enflaient. La sensation de chaleur était telle qu'elle devait se mordre pour ne pas hurler. Rachida jetait des regards vers le visage de la jeune fille ou roulaient déjà quelques larmes. Elle laissa un instant la jeune mariée reprendre ses esprits. Le sexe était comme tuméfié rouge vif et gonflé. C’est le moment qu'elle choisit pour parfaire sa domination.

_ Ton Maître ne m'a pas demandé que je m'occupe de ton clito mais ici c'est moi qui commande alors tu vas prendre toi même de la crème et t'en enduire ta viande de putain ainsi que tes pis. Tu es d'accord n'est-ce pas?

_ Euh! Je ne sais pas madame c'est si... si terrible.

Elle reçu une gifle aller retour sur son visage en larmes.

_ Je vous en supplie madame! Pas ça.

Un autre aller retour eut raison des dernières réticences. Isabelle avait que Rachida ne céderait pas. Elle prit un peu de crème qu'elle étala sur ses tétons et les auréoles de ceux-ci, puis s'en enduisit le clitoris. Elle hurla presqu'aussitôt sous la brûlure terrible. Rachida se leva et alluma une cigarette en attendant qu'Isabelle reprenne un peu ses esprits. Elle ramena enfin la jeune fille au salon ou Isabelle eut la surprise de voir que son mari était arrivé. Une autre surprise fut celle qu'il ne montra aucune réaction à voir son épouse nue, tatouée et le sexe et les tétons enflés et rouge.

_ Votre putain est prête messieurs! Dit Rachida en repartant vers la cuisine.

Alexandre et Arnaud s'approchèrent de la jeune fille et c'est Arnaud qui ordonna:

_ A genoux salope!

Isabelle comprit à ce moment là que ce qui lui arrivait était prévu depuis longtemps, sûrement depuis le jour ou elle avait rencontré Arnaud. Comment pouvait-il en être autrement, il était riche, de bonne famille et elle n'était à l'époque qu'une petite serveuse de restaurant. Elle se souvint aussi de sa présentation à celui qui allait devenir son beau-père et Maître. Comment il l'avait regardé de bas en haut puis de haut en bas. Les questions plutôt indiscrètes qu'il lui avait posé, elle avait eut le doute à ce moment là s'en y croire vraiment qu'Arnaud avait raconté à son père les ébats amoureux qu'ils avaient eut auparavant.

_ Je t'avais dit qu'elle serait parfaite non!

_ Lorsque j'en aurai fini avec elle, elle sera parfaite pour l'instant ce n'est qu'une pute bientôt tu la présenteras au club comme esclave rouge.

Isabelle ne comprenait pas ce qu'Alexandre disait à Arnaud mais elle devinait que les jours qui allaient suivre n'allaient pas être tranquille. Arnaud fit le tour d'Isabelle et dit:

_ J'aime bien ces tatouages je les ferai faire définitivement quand je la présenterais.

_ Oui et avec les anneaux elle sera parfaite.

Ils prirent du café en attendant l'heure de leur rendez-vous et Arnaud se fit sucer devant son père par son épouse. Malgré sa honte elle s'enquit de cette tache sans état d'âme.

En éjaculant Arnaud éructa:

_ Elle suce déjà sans les mains, elle apprend vite.

_ Elle est faite pour subir, c'est dans sa nature n'est-ce pas putain!

_ Oui Maître!

_ Si nous y allions, Tarek va nous attendre. Toi la pute tu restes à poil sinon à quoi aurait-il servi de te décorer.

Avant de sortir, Alexandre posa autour du cou d'Isabelle le terrible collier et y ajusta une laisse. C’est tirée par celle-ci qu'elle se dirigea vers la voiture ou attendait le chauffeur. Ils se dirigèrent de nouveau vers la ville mais cette fois ci dans les quartiers moins fréquentables surtout à cette heure avancée de la soirée. Le chauffeur, heureusement pour Isabelle se gara devant le sex-shop ou elle comprit qu'ils se rendaient. Les rideaux de fer étaient tirés. Isabelle crut un moment échapper à la suite des événements mais en la tirant par la laisse toujours nue sur le trottoir, Alexandre l'entraîna vers une porte sur le coté de l'établissement. Il y frappa avec un code convenu. La porte de fer s'ouvrit presqu'aussitôt sur un homme plutôt râblé mais qui présentait une musculature imposante. Ils suivirent sous la lune un long dédale qui les mena dans l'arrière salle du sex-shop. Isabelle d'abord éblouie par la lumière forte qui y régnée put distinguer peu à peu les six hommes qui s'y trouvaient. Tous assis dans de confortables fauteuils, ils buvaient forts alcools et fumaient de capitonneux cigares. Un homme se leva.

_ Cul de pute, je te présente Tarek que tu appelleras comme tous ceux présents Maître.

Isabelle regarda avec appréhension l'homme. Il était grand, son torse nu laissait deviner lui aussi une bonne musculature et le pantalon de cuir qui recouvrait ses cuisses elles aussi musclées faisait trembler d'effroi la frêle jeune fille. Alexandre s'adressa à l'assemblée:

_ Messieurs je ne vous connais pas pour la plupart puisque vous êtes invités par Tarek mais sachez Que Cul de pute est ici pour des essayages un peu spéciale. Mon fils et moi désireront l'asservir au plus haut point de l'esclavage de notre club. Cette nuit après ses essayages vous pourrez profiter de ses charmes sauf de son cul qui n'est pas encore dépucelé. Sachez aussi que la soirée sera filmée et que si vous le désirez, Tarek pourra vous procurez une copie. Messieurs que les réjouissances commencent.

C'est le signal qu'attendait Tarek. Il entraîna par la laisse, Isabelle au milieu du cercle formé par les fauteuils. Deux hommes laissèrent leurs places à l’arrivant pour se saisir de caméra et commencer à filmer. Tarek en habitué commença:

_ A genoux sale pute!

Isabelle se retrouva à genoux et les mains sur la tête. Un des caméramans commença par filmer les faux tatouages. Sur un écran géant de contrôle tout le monde put lire. D'abord celui sur la poitrine au dessus des seins:

PUTAIN EN DEVENIR

Puis la caméra glissa sur le ventre vers le pubis juste au dessus du sexe était inscrit:

TROU A BITES et en dessous SERVEZ-VOUS

Mais le pire fut ce qu'elle put lire en même temps qu'eux sur ses fesses, Rachida avait inscrit

TROU A BITES EN DEVENIR et sur l'autre fesse BIENTOT OUVERT A TOUS.

Tarek qui s'était éloigné pour laisser les hommes filmer revint avec toutes sortes d'objets. Il tendit d'abord à Isabelle un godemichés de bonne taille qui imitait à s'y méprendre un sexe d'homme.

_ Branle toi le vide-couilles avec ça Salope!

Avec un peu d'hésitation Isabelle s'exécuta mais le terrible crème lui donnait trop envie d'être pénétrée pour tergiverser plus longuement. Elle se pénétra d'un coup sous les rires moqueurs et les quolibets des hommes présents. Isabelle fit d'abord de lents va et vient mais Tarek l'exhorta à allez plus vite et surtout plus loin. Elle allait jouir quand Tarek lui tendit une chose monstrueuse qui même si la ressemblance avec un sexe masculin était flagrante n'avait rien d'humain.

_ Prends celui là pour te finir putain!

Isabelle eut du mal à faire entrer l'engin dans son sexé qui bien que parfaitement lubrifié était encore assez serré. Elle y parvint après quelques effort encouragée par les insultes qui fusaient de toutes parts. C’est Tarek qui la pistonna durement avec le sexe de latex. Elle hurla plusieurs fois sa jouissance et s'écroula honteuse au pieds de son b o u r r e a u en s a n g lotant.

Ce qu'avait dit Rachida était vrai, elle en avait encore envie et serra les cuisses sur le terrible olibos pour qu'il ne s'échappe pas du sexe qu'il martyrisait. Tarek ne lui laissa qu'un cours répit:

_ Debout salope! Les bras en l'air.

Isabelle se retrouva les poignets enchainés en l'air. Tarek prit une cravache qu'il fit siffler plusieurs fois devant le visage de la jeune fille. Le silence s'était fait dans la salle. L’atmosphère enfumée restait pesante; la cravache cingla une première fois les fesses d'Isabelle qui hurla sous la douleur. Tarek la bâillonna d'une boule en caoutchouc.

_ Cette pute va réveiller tout le quartier.

Il continua à fouetter les fesses tendres de la jeune fille qui criait dans le bâillon sous les regards égriards des spectateurs. Puis il passa au devant cinglant plusieurs fois les seins droits et durs, faisant éclater légèrement les vaisseaux s à n g uins qui les parcouraient. Ce fut ensuite le tour du ventre. Tarek était un expert sachant frapper au bon endroit sans trop de f o r c e ni trop peu. C’est presqu'évanouie qu'Isabelle fut détachée. Mais Tarek n'en resta pas la. Il posa aux lèvres du sexe ainsi qu'aux tetons de cruelles pinces munies de dents et les lesta de poids puis à l'aide de sa cravache il obligea Isabelle à passer devant chaque homme, non sans lui avoir glissait à l'oreille ce qu'elle devait faire et dire. C'est Germain le petit chauve de la boutique pour animaux qui eut sa première visite. Isabelle s'accroupit devant lui, les cuisses grandes ouvertes et dans un soupir dit:

_ Je suis une grosse pute et j'aimerais avoir l'honneur de me faire bourrer le trou à bites par vous Maître.

Tout le monde éclata de rire gras et tout le monde eut droit à la même phrase. Certains prirent un malin plaisir à jouer avec les poids qui martyrisaient Isabelle. Tarek la ramena enfin au milieu de la salle et lui ôta les pinces ce qui la fit hurler de douleur. Elle dut ensuite se mettre à quatre pattes et Tarek lança à l'assemblée:

_ Messieurs, elle est à vous!

Telle une harde de sauvages les hommes se précipitèrent sur elle sauf à son grand dam, Alexandre, Arnaud et même Germain. Elle eut très vite sa bouche et son sexe, investis de sexes durs qui la malmenèrent brutalement. Ils avaient tous des préservatifs mais elle sentait néanmoins leurs éjaculations. Ils en eurent très vite fini avec elle surement très excités par le spectacle qui leur avait été donné. Mais ce qui la m o r t ifia le plus dans cette soirée c'est qu'à leurs départs ils tendirent des billets à Tarek. Il venait de la prostituer à ses clients. Elle venait de faire réellement la pute pour la première fois et elle savait déjà que ce ne serait pas la dernière. C’est par la laisse qu'elle retourna à la voiture et elle savait déjà que la soirée n'était pas finie. Germain et Tarek les suivaient et eux n'avaient pas encore jouit d'elle. Tarek déposa dans le coffre tout un attirail d'objet non sans insister:

_ C'est à toi, c'est ce que tu as gagné avec ta moule de salope.

La voiture ressortit de la ville pour se diriger vers la foret ou e n f a n t elle allait se promener avec ses parents. Le véhicule s'engagea dans un chemin de terre et roula encore quelques instants. En descendant Isabelle put apercevoir à une centaine de mètres des feux et des ombres nombreuses autour. C’est Germain qui prit alors les choses en main. Il tira sèchement sur la laisse faisant trébucher Isabelle qui faillit tomber.

_ Avance, Tu n'as pas encore fini de faire la pute, sauf qu'ici tes clients n'ont pas un rond, alors il va falloir baisser tes prix. Mais moi je suis certain que tu en as tellement envie que c'est toi qui va payer pour qu'ils te baisent.

Il était vrai que la crème faisait encore beaucoup d'effet et qu'Isabelle avait encore follement envie de se faire pénétrer. Mais elle ne voyait pas comment, nue, elle pourrait payer quelqu'un pour lui faire l'amour. En se rapprochant elle aperçu les hommes présents, des SDF, un camp de fortune abritant chichement des gens sans. Elle se douta au nombre des cadavres de bouteille jonchant le sol qu'ils étaient ivres. Germain se vanta auprès des autres avoir fait livrer les consommations. Il plaisanta en accentuant qu’ici ce n'était pas la qualité mais la quantité qui comptait. Isabelle fut amenée au centre du cercle de tonneaux ou brulaient de vieilles palettes. Bien que titubant les hommes s'approchèrent d'elle.

Certain s’enhardirent à la caresser, à la palper même. Des doigts goures et sales pénétrèrent son intimité. Elle n'osait se soustraire à ce supplice de peur d'affronter le courroux d'Alexandre. Mais cela encouragé les hommes à plus de précipitation. Germain les laissa faire quelques instants avant d'élever la voix.

_ Messieurs, messieurs. Madame est venue ici dans l'espoir de se faire baiser comme une chienne. Elle est d'ailleurs prête à vous payer pour cela seulement elle a oublié son sac à main, j'espère que vous ne lui en tiendrez pas rigueur et que vous lui accorderez tout crédit.

Isabelle avait presqu'envie de rire malgré la situation. Le langage que Germain employait contrastait avec la situation. Lui qui n'avait envers elle qu'insultes à la bouche parlait avec eux comme à des hommes du monde. Des murmures parcouraient la petite tribu qui continuait à se passer les bouteilles.

_ Et combien elle donne la petite dame pour qu'on s'occupe d'elle?

Ils s'adressaient à elle. Germain restait muet le regard interrogateur.

_ Euh je ne sais pas! Je n'en ai aucune idée.

_ Elle n'en a aucune idée et si on disait vingt?

_ Je ne sais pas vingt euros chacun c'est beaucoup.

_ Il faudrait savoir ce qu'on veut hein madame un bon coup de bite ou rien du tout. Ton ami nous a dit que t'écartait facilement les cuisses mais nous c'est plutôt le fric qui nous intéresse.

Isabelle se tourna vers Alexandre puis Arnaud mais tous restaient muets. C'est Germain qui non sans quelqu'intérets débrouilla la situation à son avantage bien sur.

_ Si Alex le permet j'avance la somme mais il faudra me rembourser et en nature bien sur. Un week-end tout à moi je crois que c'est raisonnable non?

_ Oui si c'est ce que vous voulez et si mon Maître le permet.

_ C'est d'accord!

La voix de ténor d'Alexandre venait de résonner au dessus des brouhahas. Vous baisez cette pute autant que vous le voulez et vous avez chacun un billet. Seulement toi la putain tu fais comme tout à l'heure tu demandes à chacun de te bourrer le trou à bites.

_ Bien Maître.

Et durant les deux heures qui suivirent Isabelle resta allongée sur de vieux cartons, les cuisses ouvertes. A chaque fois qu'un homme se présentait à sa bouche ou son sexe elle lui demandait en termes crus de la prendre à la satisfaction des trois voyeurs mais surtout pour plaire à Alexandre son dieu son Maître.

A son réveil le lendemain, elle était encore fatiguée. Elle prit une douche qui l'apaisa un peu mais son seul but était de retrouver Alexandre pour le servir. Elle eut la cruelle désillusion d'apprendre qu'il était sorti, elle apprit ensuite que c'était encore dans le but de son dressage qu'il s'était absenté.

Baron de Gite

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